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… d’un au revoir pour mieux se retrouver
Bteparle est né en juillet 2019. Il est le fruit d’un moment de vie, d’un élan amical, d’une volonté de construire quelque chose de nouveau. Ce site, ce blog (je vous laisse le choix) c’est l’histoire d’une bande de potes, de love en pack de 12, d’une synergie pour vivre, mieux vivre, pour partager les moments de vie, les joies, les galères. Pour oser dire, pour témoigner. Mais pas que. Bteparle c’est la plume de Bérangère, la mienne donc. Une plume qui existait déjà sous le nom d’apostériori apriori et ce depuis 2005. Bteparle c’est aussi, au départ, un projet pour repousser ses limites, un projet pour promouvoir le sport.…
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… de 2022, comme c’est original !
De retour et sans promesses de publications “à venir” car je n’arrive pas à les tenir (ça c’est dit) !!! Le dernier partage de plume remonte à la veille de mon anniversaire. Depuis ? J’ai pris en âge donc, les fêtes de fin d’année ont été, la nouvelle année a pointé le bout du nez, et puis la vie, surtout, a repris dans tous les sens du terme. Et donc ? Depuis presque deux ans, je partage mes états d’âme, témoigne au grand jour de ce qu’est la dépression. La dépression réactionnelle. Pas la dépression chronique, pas la dépression mélancolique, la dépression réactionnelle. Celle qui débarque du jour au lendemain,…
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… de l’été, d’existence, de résurrection
L’été est là, bien présent. Chaleur, lourdeur de l’air, les plages sont parées de serviettes et matelas plus ou moins confortables, les jambes et les bras se dénudent, les vacances s’installent. L’été, cette saison que j’affectionne particulièrement, comme un vent de liberté, comme un vent d’insouciance. Telle était ma définition de l’été jusqu’alors. C’était sans compter sur ce virus répondant au nom de Covid, à cette obligation vaccinale aux fins utiles de pouvoir, après plus d’un an, retrouver un semblant de vie “normale”. Sauf que la normalité est à redéfinir. Il y a un avant, et un après. Nous sommes en plein dedans. Chacun y va de son commentaire, de…
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… de l’été qui pointe son nez
Voilà l’été, voilà l’été, j’aperçois le soleil, comme le chantent si bien les Negresses Vertes depuis 1988. L’été, cette saison que j’affectionne particulièrement et ce malgré les désagréments de la chaleur, des vêtements qui collent, des courants d’air qui ne sont pas, du manque d’air, etc… L’été c’est un nouveau cycle de vie, un temps de préparation à l’automne aussi, des journées plus longues, le soleil, la lumière, une période faste, une période qui s’annonce riche en festivals, en rencontres, en découvertes, en lectures aussi. L’été 2020 fut l’été de l’ultime hospitalisation : trop de trop, trop de rien, trop de plus d’envie, trop de combats. Besoin de repos, besoin…
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… de ce mars 2020 au regard de celui de 2019
Mars 2020 : traversée du lac gelé annulée pour moi, confinement imposé, découverte du service de réanimation de l’hôpital pédiatrique… Bref, rien de ce que j’avais prévu voici à peine 30 jours. Mars 2019 : apprendre à vivre seule hors des murs de la clinique, fêter le printemps, voyager à Bruxelles. Ma vie semble se vêtir de nouveaux habits colorés. Quatre mois dans une clinique psychiatrique où les sorties sont limitées à trois demi-journées sur 7 jours glissants, où le portable vous est autorisé 3 heures par semaine, où votre lieu de vie se limite à une chambre hostile (chance la mienne est individuelle) et un jardin commun fréquentable de…