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… de l’été, d’existence, de résurrection
L’été est là, bien présent. Chaleur, lourdeur de l’air, les plages sont parées de serviettes et matelas plus ou moins confortables, les jambes et les bras se dénudent, les vacances s’installent. L’été, cette saison que j’affectionne particulièrement, comme un vent de liberté, comme un vent d’insouciance. Telle était ma définition de l’été jusqu’alors. C’était sans compter sur ce virus répondant au nom de Covid, à cette obligation vaccinale aux fins utiles de pouvoir, après plus d’un an, retrouver un semblant de vie “normale”. Sauf que la normalité est à redéfinir. Il y a un avant, et un après. Nous sommes en plein dedans. Chacun y va de son commentaire, de…
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… de l’été qui pointe son nez
Voilà l’été, voilà l’été, j’aperçois le soleil, comme le chantent si bien les Negresses Vertes depuis 1988. L’été, cette saison que j’affectionne particulièrement et ce malgré les désagréments de la chaleur, des vêtements qui collent, des courants d’air qui ne sont pas, du manque d’air, etc… L’été c’est un nouveau cycle de vie, un temps de préparation à l’automne aussi, des journées plus longues, le soleil, la lumière, une période faste, une période qui s’annonce riche en festivals, en rencontres, en découvertes, en lectures aussi. L’été 2020 fut l’été de l’ultime hospitalisation : trop de trop, trop de rien, trop de plus d’envie, trop de combats. Besoin de repos, besoin…