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… d’un au revoir pour mieux se retrouver
Bteparle est né en juillet 2019. Il est le fruit d’un moment de vie, d’un élan amical, d’une volonté de construire quelque chose de nouveau. Ce site, ce blog (je vous laisse le choix) c’est l’histoire d’une bande de potes, de love en pack de 12, d’une synergie pour vivre, mieux vivre, pour partager les moments de vie, les joies, les galères. Pour oser dire, pour témoigner. Mais pas que. Bteparle c’est la plume de Bérangère, la mienne donc. Une plume qui existait déjà sous le nom d’apostériori apriori et ce depuis 2005. Bteparle c’est aussi, au départ, un projet pour repousser ses limites, un projet pour promouvoir le sport.…
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… de 2022, comme c’est original !
De retour et sans promesses de publications “à venir” car je n’arrive pas à les tenir (ça c’est dit) !!! Le dernier partage de plume remonte à la veille de mon anniversaire. Depuis ? J’ai pris en âge donc, les fêtes de fin d’année ont été, la nouvelle année a pointé le bout du nez, et puis la vie, surtout, a repris dans tous les sens du terme. Et donc ? Depuis presque deux ans, je partage mes états d’âme, témoigne au grand jour de ce qu’est la dépression. La dépression réactionnelle. Pas la dépression chronique, pas la dépression mélancolique, la dépression réactionnelle. Celle qui débarque du jour au lendemain,…
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… de la vielle qui ne veut pas mourir, elle veut apprendre
Née un 25 septembre en 1895, Assunta ne cessera de répéter, jusqu’au 09 juillet 1987, “La vieille ne veut pas mourir, elle veut apprendre”. Assunta, italienne, veuve dans les années 80. Assunta, mon arrière-arrière grand-mère, la grand-mère de mon père. Une femme, une italienne, une force tranquille. Elle n’en finira jamais de répéter cette phrase qu’elle tenait de je ne sais où, j’avoue. Ce dicton a marqué mon enfance, a été un moteur durant mes années d’étude, et même à l’aube de la trentaine, période à laquelle je passais mon concours de professeur des écoles, flanquée de quatre enfants en bas-âge, et étant une mère célibataire avec enfants donc. Quatre…
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… d’automne, de vie, d’espérance et de psy
Trois mois sans plume publique, sans témoignage personnel, sans article dit culturel, trois mois de silence donc. Mais le silence n’est-il pas en soi une action ? Une forme de témoignage ? Trois mois, un trimestre, 90 jours environ soit 2 160 heures. Un temps écoulé empli de joies, de vie, de rires, de détente, de renouveau, de naissance, de lectures, d’écoutes musicales, de rencontres, etc… comme tout à chacun dirons-nous. Et pourtant !!! L’automne a pointé son nez, laissant derrière l’été : la Corse, l’ami d’enfance, les vacances, l’ado, la détente, les soirées conviviales, les plages entre amies, le soleil, la chaleur, l’insouciance propre à l’été. Un été joyeux…
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… de l’été, d’existence, de résurrection
L’été est là, bien présent. Chaleur, lourdeur de l’air, les plages sont parées de serviettes et matelas plus ou moins confortables, les jambes et les bras se dénudent, les vacances s’installent. L’été, cette saison que j’affectionne particulièrement, comme un vent de liberté, comme un vent d’insouciance. Telle était ma définition de l’été jusqu’alors. C’était sans compter sur ce virus répondant au nom de Covid, à cette obligation vaccinale aux fins utiles de pouvoir, après plus d’un an, retrouver un semblant de vie “normale”. Sauf que la normalité est à redéfinir. Il y a un avant, et un après. Nous sommes en plein dedans. Chacun y va de son commentaire, de…
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… du festival des Voix et des Merveilles
Le mois de Juillet et son lot de festivals nous permet de reprendre contact avec la culture, la détente, les rencontres. Parmi tous les festivals proposés, en ce jeudi, le coup de projecteur est porté au festival des Voix et des Merveilles à Breil sur Roya. Mais pourquoi ce festival ? Parce qu’il est initié par une femme extraordinaire, Anne Dorr, présidente de l’association Question de coeur. Parce qu’Anne Dorr est une femme lumineuse, rayonnante, solaire, mais surtout une femme qui combat pour la culture par la culture, et ce pour reconstruire la vallée de la Roya après la tempête Alex. Parce que la Vallée de la Roya fait partie…
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… de l’été qui pointe son nez
Voilà l’été, voilà l’été, j’aperçois le soleil, comme le chantent si bien les Negresses Vertes depuis 1988. L’été, cette saison que j’affectionne particulièrement et ce malgré les désagréments de la chaleur, des vêtements qui collent, des courants d’air qui ne sont pas, du manque d’air, etc… L’été c’est un nouveau cycle de vie, un temps de préparation à l’automne aussi, des journées plus longues, le soleil, la lumière, une période faste, une période qui s’annonce riche en festivals, en rencontres, en découvertes, en lectures aussi. L’été 2020 fut l’été de l’ultime hospitalisation : trop de trop, trop de rien, trop de plus d’envie, trop de combats. Besoin de repos, besoin…
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… de livres à lire, évidemment !
Passion lecture depuis presque vingt ans. Un passage à vide de quelques petites années. Eté 2020, une rencontre, des rencontres, du temps, un esprit qui se réveille, et LA librairie qui va tout changer : La Pléiade sis Avenue Auguste Renoir à Cagnes sur Mer. Aurélie et Virginie m’ouvrent les champs du possible, me proposent des titres, ouvrent mes horizons de lecture. La Miss Saturne qui dormait en moi est de retour et vous partage, donc, quelques lectures à dévorer au soleil, ou pas. Pour se détendre en terrasse, à la plage, chez soi… Fabienne Blanchut nous livre son premier roman pour adulte. Auteure connue et reconnue de littérature jeunesse…
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… de sa Diam’s
Mathilde, Deux ans d’absence, deux années sans toi, sans nous. J’ai eu mal, très mal. Très en colère après toi, après moi, après la terre entière mais surtout après Elle. Nous l’appellerons Elle. Elle qui n’avait pas compris combien tu l’aimais elle qui se jouait de toi, elle qui a profité de toi. Elle que tu aimais trop, mais mal aussi. Elle qui s’est refusée de, à, t’aimer parce qu’être homosexuelle ben c’est pas simple. Elle qui t’a rendu la vie difficile, si difficile qu’Elle a été l’élément déclencheur de cette absence qui perdure depuis deux ans, et ce n’est pas fini Je sais combien était ta souffrance. Mais p’tite…
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… du printemps, de vie, de retour(s)…
Un an, même plus. Soit quelques 400 jours de plume confinée. Plume non publique. Plume intime cependant. On n’arrête pas, jamais, d’écrire. Sortir du confinement la plume. Une plume légèrement autre. Ne plus donner à lire. Désinfecter au gel la plume, ne pas l’aseptiser non plus. La sortir de son cocoon, la partager, l’exposer. La décision ne fut pas simple. Quand ? Pourquoi ? Pour quoi ? Pour qui ? Dans quelles intentions ? Décision fut prise : le 16 mai sera jour de retour. Le nombre 16, quatrième puissance de 2, donc un carré parfait ; la somme des quatre premiers nombres impairs. La base du système hexadécimal. Le…